J’ai pour ainsi dire peur que les personnes rencontrées sur mon chemin me veulent du mal ou sont là pour me blesser. J’appréhende une souffrance future, de la tristesse qui paralyse.
J’ai peur mais je ne sais rien, ce n’est qu’une approche de mon subconscient. Je créée du malheur avant même en avoir l’aperçu. Je brusque les choses sans en avoir le cœur net.
Mais ce comportement me fait défaut car je n’ai pas confiance. Ni en moi, puisque je me sens vulnérable, ni aux autres.
« Je sais qu’ils sont là pour me peiner. »
Mais si alors quelqu’un de bon croisai mon chemin ? Comment réagira-t-il quand il apprendra que je me défend de lui ? Beaucoup de frustration, peu de savoir-faire.
Que faisons-nous lorsque quelqu’un est en position défensive envers nous, malgré nos preuves de paix ? On rebrousse chemin car on ne peut pas creuser, n’est-ce pas ?
Ne vaut mieux t-il pas donner sa confiance aux gens qui en valent la peine ? Apprendre à aimer les yeux fermés ? Se lever le matin et voir que tout va bien ?
Parfois il faut lâcher prise, et découvrir que la vie est bien faite.
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Mes émotions me jouent des tours, elles aiment tout ce qui est vrai et beau, tout ce qui est juste et affectueux. Je n’ai pas de place dans mon monde pour de l’agressivité, je veux de la paix et de l’amour mais je suis déçue.
Tout cela n’est qu’éphémère, nous ne vivons pas dans le même monde. Il faut s’y adapter. S’y acclimater. S’y réduire.
Charlotte, il n’y a pas d’autre moyen que d’y faire face. Souviens-toi qu’il y a des gens qui t’aiment, mais qui ne sont pas comme toi. Il y a des intérêts, il y a du savoir-vivre, il y a de la sincérité, de la fourberie, de l’injustice, il y a des connards partout. Ne t’attends pas à ce que les gens soient charmants, mais honnêtes. Cela montre les vrais visages. A toi de voir ensuite.
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Arrête de supposer. Ça détruit les neurones et ma personne entière. Expire. Tout va bien.
Mon T croit en moi, alors pourquoi pas moi ? Secoue-toi, princesse, tu vaux mieux que ça.